Le Chirurgien-Aventurier-Scientifique-Chanteur Buckaroo Banzaï révolutionne la physique moderne en parvenant à traverser la matière. Les Lectroïdes Rouges de la Planète 10 veulent s'emparer de cette invention, mais fort heureusement Buckaroo et sa célèbre troupe des "Hong Kong Cavaliers" font face aux Aliens.
Buckaroo Banzaï est le type de film culte qu'il vaut mieux ne jamais revoir. J'en avais gardé un souvenir confus mais agréable après l'avoir vu, adolescent, à sa sortie en 1984. Un OVNI dans lequel un Dandy mi-Geek mi-Rockstar accompagné d'une joyeuse bande d'allumés super-cool sauvaient le monde d'une invasion d'hommes-cafards qui s'appelaient tous John.
Trente ans après (putain ! 30 ans !), je constate que le scénario bordélique masque difficilement le manque de rythme et de cohésion de cette tentative de création de héros récurrent pour le cinoche. Buckaroo Banzaï souffre du syndrome de l'overdose de bons ingrédients mal accommodés, avec une histoire génialement décalée sur le papier qui fait un flop une fois portée à l'écran. La faute à Peter "Robocop" Weller dont le Buckaroo manque cruellement de charisme et à des personnages secondaires dépourvus de développement. Quel dommage de voir John Lightgow, Christopher Lloyd ou Jeff Goldblum en roue libre, sans biscuits pour défendre leur caractère. La faute surtout au réalisateur qui peine à assembler toutes les pièces de son puzzle et manque de moyens pour assouvir ses ambitions.
Trente ans après (putain ! 30 ans !), je constate que le scénario bordélique masque difficilement le manque de rythme et de cohésion de cette tentative de création de héros récurrent pour le cinoche. Buckaroo Banzaï souffre du syndrome de l'overdose de bons ingrédients mal accommodés, avec une histoire génialement décalée sur le papier qui fait un flop une fois portée à l'écran. La faute à Peter "Robocop" Weller dont le Buckaroo manque cruellement de charisme et à des personnages secondaires dépourvus de développement. Quel dommage de voir John Lightgow, Christopher Lloyd ou Jeff Goldblum en roue libre, sans biscuits pour défendre leur caractère. La faute surtout au réalisateur qui peine à assembler toutes les pièces de son puzzle et manque de moyens pour assouvir ses ambitions.