Pendant la guerre du Vietnam le Capitaine Willard est chargé d'une mission délicate : s'infiltrer au Cambodge pour retrouver un Colonel déserteur, Kurtz.
Un de ses films dont la réputation est tellement hors norme que sa première vision est parasitée par toute la légende entourant le projet dément d'un Coppola devenu moitié cinglé pendant sa réalisation et son montage. On pense sans cesse au barnum invraisemblable du tournage (pas d'écran vert à l'époque, toutes les explosions sont réelles), aux caprices de Brando en impro permanente (auquel le script doit s'adapter), aux graves accidents de Martin Sheen (dont un infarctus qui le force à passer 3 semaines à l'hosto), à l'accouchement du film de plusieurs années en salle de montage (menant à plein de versions différentes).
Mais plus de trente ans après, Apocalypse Now conserve son pouvoir hypnotique, la grandiloquence de ces scènes filmées "live" et sans trucage, son récit capharnaüm dans lequel on s'enfonce avec les personnages pour quitter un "bête" film de guerre et accéder à... autre chose.
Mais plus de trente ans après, Apocalypse Now conserve son pouvoir hypnotique, la grandiloquence de ces scènes filmées "live" et sans trucage, son récit capharnaüm dans lequel on s'enfonce avec les personnages pour quitter un "bête" film de guerre et accéder à... autre chose.
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