En hiver 1969, un commando d'élite américain fut envoyé en mission ultra-secrète dans le Sud-Est du Viêtnam. Objectif : délivrer le sergent Feuille-de-Trèfle Tayback. Quasiment une mission-suicide.
Sur les dix hommes envoyés, quatre seulement en revinrent. Sur les quatre, trois écrivirent un livre sur leur histoire. Sur les trois livres, deux furent publiés. Un seul fut adapté au cinéma.
Voici l'histoire des hommes qui tentèrent de faire ce film.
Sur les dix hommes envoyés, quatre seulement en revinrent. Sur les quatre, trois écrivirent un livre sur leur histoire. Sur les trois livres, deux furent publiés. Un seul fut adapté au cinéma.
Voici l'histoire des hommes qui tentèrent de faire ce film.
Ca commence par une pub débile d'un rappeur en mousse, ça enchaine sur 3 bandes-annonces qui nous paraissent étrangement familières : le blockbuster ultra crétin, l'odieuse pochade à la connerie obèse, le pensum lourdingue taillé pour les Oscars. En résumant en 5 minutes chrono tout le barnum Hollywoodien, Tropic Thunder se pose d'emblée comme LA comédie des années 2K. Et la suite ne va que confirmer cette parfaite entrée en matière. On retrouve avec délectation quelqu'uns des grands stéréotypes du cinéma Américain grand public, avec des pointures pour les incarner, aussi bien dans le casting principal que dans les rôles secondaires. En choisissant comme thème le "film de guerre au Vietnam", Ben Stiller s'ouvre un boulevard comique et en exploite tous les ressorts sans jamais tomber dans la parodie facile. Mention spéciale à Tom Cruise, le producteur over-the-top ("why don't you get the hell out of here before I snap your dick off and jam it into your ass ?!"), et à Robert Downey Jr, acteur en sur-régime ("I'm the dude playing a dude disguised as another dude !").
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