(3D - Note : 8/10) by Psygnosis. 1 Player / Memory Card 1 Block / Analog Joystick & Controller Compatible. 2 Discs.
La PSX n'avait pas encore eut droit à un véritable "space opera" depuis sa création. On peut dire sans exagérer que c'est aujourd'hui chose faite grâce à l'arrivée de Colony Wars ! Pompant allègrement sur le scénario de Starwars (univers futuriste avec affrontement des "Rebels", alias la Ligue des Mondes Libres, contre "l'Empire", alias la planète Terre), Colony Wars étonne avant tout par sa réalisation technique.
Malgré sa haute résolution, la 3D est réellement superbe et fluide et les effets lumineux couplés aux fantastiques bruitages et musiques plongent vraiment le joueur dans l'action. Dès l'introduction on sent l'influence de Jeux comme Wing Commander sur PC. Les séquences cinématiques sont très bien faites mais très classiques. Vous êtes une nouvelle recrue de La Ligue et devez prendre les commandes de divers vaisseaux spatiaux pour combattre le terrible "Empire" de la Terre. Le menu principal en haute résolution donne le ton : très classieux avec ses arborescences multiples, on peut même apprendre l'histoire de cet univers avec de vrais commentaires (et pour chacune des 10 planètes qui composent chaque systèmes solaires !). Vos ordres de missions sont également parlés même si la traduction engendre quelques incompréhensions sans gravité (beaucoup de termes techniques alourdissent les explications de votre supérieur).
Les Missions restent assez banales pour ce genre de jeu (principalement détruire diverses cibles) mais la force de Colony Wars est ailleurs : là où Ace Combat 2 jouait sur la vitesse et la "réalité" de l'action, Colony Wars éblouit le joueur avec ses énormes vaisseaux spatiaux qui dérivent lentement dans l'espace bleuté sur une musique digne de John Williams et surtout impressionne avec ses effets spéciaux grandioses ! Chaque Tir, chaque explosion mérite le détour ! Je pense d'ailleurs qu'un nouveau pas vient d'être franchi dans la 3D sur PSX avec ce jeu ! Les engins sont très détaillés et "bougent" avec fluidité.
Le second atout de Colony Wars est son scénario en arborescence : chaque épisode est découpé en plusieurs missions et la réussite ou l'échec de ses Missions détermine la suite de l'aventure. Ainsi les évènements prendront une tournure différentes selon le degré de réussite du joueur, ce qui donne une impression de liberté totale. Il existe 5 systèmes solaires dans lequel on joue plusieurs épisodes, Colony Wars dispose donc d'une grande drée de vie. De plus on ne peut sauvegarder qu'entre les épisodes, ce qui oblige le joueur à enchainer plusieurs Missions victorieuses s'il veut vraiment progresser : en effet si vous échouez trop souvent la Guerre contre l'Empire sera perdue définitivement...
La maniement de Colony Wars est exemplaire : deux boutons pour la première Arme (tirer et changer d'arme) et deux boutons pour la seconde arme. La touche L1 pour accélerer et R1 pour ralentir et enfin L2 et R2 pour faire pivoter son vaisseau. Un Viseur apparait sur la cible au centre de l'écran, ce qui donne accès à l'état de protection de cette cible. La plupart du temps il faudra d'ailleurs détruire d'abord le bouclier d'un ennemi avec une arme précise avant de l'exploser avec une autre. Un radar en 3D permet de se repérer dans l'immensité cosmique, un code couleur distingue les bons des méchants.
Colony Wars est donc sans conteste le meilleur jeu dans son genre, Simulation de Combats Spatiaux, pour cette année 97. Le travail accomplit par Psygnosis est gigantesque (la base de données vous donne des renseignements sur l'histoire militaire et politique de chaque planète) et ravira les fans de Starwars. Le Niveau est assez élevé et les Missions deviennent rapidement complexes, ce qui garanti une durée de vie acceptable. Les voix françaises sont un peu bizarre, surtout celle de votre supérieur, mais donne une ambiance très "militaire" ;).
A jouer avec une Manette Analogique sur un écran 80 cm avec Son Dolby pour une immersion complète !!!
Films, Livres, Jeux, Musiques, Synopsis, Playlists, Chroniques, Prince... Mes critiques, aides, analyses et autres billevesées.
mercredi 17 décembre 1997
lundi 15 décembre 1997
STREET FIGHTER EX PLUS ALPHA
(3D - Note : 5/10). infos non disponibles.
Capcom, éditeur de la (très) longue série des Street Fighter vient de franchir enfin la 3ème dimension ! Après un nombre incalculable de Street Fighter en 2D voici la dernière version tout en 3D du plus célèbre des Jeux de Baston. N'étant pas un fan du genre, il m'a été très difficile de m'adapter au style et à l'ergonomie du jeu : toutes les "combos" sont réalisée avec des arcs de cercle avec le pad, voir des tours complets, enchainés avec des combinaisons de boutons ! SFE+A est donc réservé aux inconditionnels du genre, ceux qui maitrise parfaitement ces techniques de combat, d'autant plus que la 3D n'est pas mieux réalisée que Tekken 2, un jeu qui à pourtant aujourd'hui 2 ans d'âge !
La réalisation technique est en effet le point faible de ce Street Fighter : la 3D est très "carrée", plutôt lente (dans la version européenne) et les bruitages et musiques sont quelconques. Les effets spéciaux sont nombreux (surtout si vous achevez votre adversaire avec une combo) mais ressemble trop aux autres jeux du genre. Les traditionnels modes Versus, Time Attack, Survival, etc... sont bien évidemment présents ainsi qu'une configuration très complète. Les persos cachés sont assez nombreux (vous les récupérez en finissant les 10 niveaux avec chaque persos) mais les séquences de fin sont plutôt ridicules comparée aux cinématiques d'un Soulblade ou d'un Tekken 2.
SFE+A est donc un jeu de Baston à réservé aux pros et aux mordus, ceux qui ont connus les versions 2D et qui les ont appréciées. Il ne propose aucunes innovations marquantes, que ce soit dans la réalisation ou dans les options proposées. Peut-être dans un futur Street Fighter Ex Plus 2 Beta Mega Top !!
Capcom, éditeur de la (très) longue série des Street Fighter vient de franchir enfin la 3ème dimension ! Après un nombre incalculable de Street Fighter en 2D voici la dernière version tout en 3D du plus célèbre des Jeux de Baston. N'étant pas un fan du genre, il m'a été très difficile de m'adapter au style et à l'ergonomie du jeu : toutes les "combos" sont réalisée avec des arcs de cercle avec le pad, voir des tours complets, enchainés avec des combinaisons de boutons ! SFE+A est donc réservé aux inconditionnels du genre, ceux qui maitrise parfaitement ces techniques de combat, d'autant plus que la 3D n'est pas mieux réalisée que Tekken 2, un jeu qui à pourtant aujourd'hui 2 ans d'âge !
La réalisation technique est en effet le point faible de ce Street Fighter : la 3D est très "carrée", plutôt lente (dans la version européenne) et les bruitages et musiques sont quelconques. Les effets spéciaux sont nombreux (surtout si vous achevez votre adversaire avec une combo) mais ressemble trop aux autres jeux du genre. Les traditionnels modes Versus, Time Attack, Survival, etc... sont bien évidemment présents ainsi qu'une configuration très complète. Les persos cachés sont assez nombreux (vous les récupérez en finissant les 10 niveaux avec chaque persos) mais les séquences de fin sont plutôt ridicules comparée aux cinématiques d'un Soulblade ou d'un Tekken 2.
SFE+A est donc un jeu de Baston à réservé aux pros et aux mordus, ceux qui ont connus les versions 2D et qui les ont appréciées. Il ne propose aucunes innovations marquantes, que ce soit dans la réalisation ou dans les options proposées. Peut-être dans un futur Street Fighter Ex Plus 2 Beta Mega Top !!
mardi 9 décembre 1997
TOMB RAIDER II
(3D - Note : 7/10) by Core/Eidos. 1 Player / Memory Card 1 Block.
Le retour de Lara ! Avec tout le batage médiatique accompagnant désormais l'aventurière de Core Design, il est certain que cette suite sera un plus gros succès que le premier épisode. Pourtant rien n'a changé depuis 1 an, même si l'héroïne peut à présent conduire différent véhicules (bateau, "scooter" des neiges, etc...) et possède de nouvelles armes (harpon, etc...) ainsi que des nouvelles tenues. Mademoiselle Croft peut aussi à présent utiliser des Torches pour éclairer les zones d'ombre (très bonne gestion des lumières). Les décors sont tout de même plus variés (extérieurs à venise par exemple). Les ennemis sont aussi un peu plus nombreux et on rencontre plus d'humains.
Le principe "de base" du jeu n'a pas bougé : diriger l'aventurière Lara Croft à la recherche d'une Dague mystérieuse et vaincre un Mafiosi Italien. Les menus sont toujours les mêmes avec la possibilité de gérer l'Audio et diverses autres options ainsi que la visite de la villa de Lara, véritable camp d'entrainement qui permetra aux débutants de découvrir toutes les facultés du Personnage. Ses mouvements ont été amélioré mais l'ensemble de la 3D du jeu n'a pas subie de modifications marquantes. La nouveauté de taille concerne les sauvegardes : elles sont accessibles à tout moment et facilite beaucoup la progression. De ce fait, Tomb Raider II est plus facile que le premier épisode, mais le niveau général du jeu à été revu à la hausse (dès le second niveau il faut enchainer rapidement une suite de mouvements pour ne pas être broyé par les mécanismes). Le jeu alterne donc recherche d'objets, déclenchement de mécanismes et exploration avec action pure et tir, de façon très équilibrée. Les séquences intermédiaires en images de synthèses sont d'une qualité égale à Tomb Raider I, c'est-à-dire "acceptables" mais très en deça de jeux comme "Soul Blade" ou "Final Fantasy VII". On constate plusieurs saccades et les mouvements des personnages ne sont pas "naturels". La musique est presque identique au premier épisode, mais il faut dire qu'elle était quasi-parfaite et correspond toujours parfaitement au style du Jeu. Souvent on entend seulement les bruitages (eau, oiseaux, etc...) puis une musique d'ambiance se fait entendre alors qu'un ennemi surgit !
Comme l'effet de surprise ne fonctionne plus, la note de Tomb Raider II est moins élevée que celle du N°1 mais ce jeu reste une valeur sûre sur Playstation grâce au savoir-faire des programmeurs et designers de Core. Il est assez facile de finir un Niveau mais on peut explorer à fond chaque nouvel endroit pour en découvrir tous les secrets (sous forme de statuettes). La durée de chaque Niveau est donc très variable (entre 30 mns et plus d'1h30). Les connaisseurs peuvent se jeter sur Tomb Raider II sans retenue (la durée de vie semble conséquente) et les néophytes devront sans doute tester une démo afin d'avoir une idée du style de jeu. Les premiers Niveaux ne sont d'ailleurs pas représentatifs de l'ensemble du Jeu donc il faudra progresser un peu avant de se faire une idée définitive. En tout cas il sera difficile de faire encore mieux dans le genre !
Le retour de Lara ! Avec tout le batage médiatique accompagnant désormais l'aventurière de Core Design, il est certain que cette suite sera un plus gros succès que le premier épisode. Pourtant rien n'a changé depuis 1 an, même si l'héroïne peut à présent conduire différent véhicules (bateau, "scooter" des neiges, etc...) et possède de nouvelles armes (harpon, etc...) ainsi que des nouvelles tenues. Mademoiselle Croft peut aussi à présent utiliser des Torches pour éclairer les zones d'ombre (très bonne gestion des lumières). Les décors sont tout de même plus variés (extérieurs à venise par exemple). Les ennemis sont aussi un peu plus nombreux et on rencontre plus d'humains.
Le principe "de base" du jeu n'a pas bougé : diriger l'aventurière Lara Croft à la recherche d'une Dague mystérieuse et vaincre un Mafiosi Italien. Les menus sont toujours les mêmes avec la possibilité de gérer l'Audio et diverses autres options ainsi que la visite de la villa de Lara, véritable camp d'entrainement qui permetra aux débutants de découvrir toutes les facultés du Personnage. Ses mouvements ont été amélioré mais l'ensemble de la 3D du jeu n'a pas subie de modifications marquantes. La nouveauté de taille concerne les sauvegardes : elles sont accessibles à tout moment et facilite beaucoup la progression. De ce fait, Tomb Raider II est plus facile que le premier épisode, mais le niveau général du jeu à été revu à la hausse (dès le second niveau il faut enchainer rapidement une suite de mouvements pour ne pas être broyé par les mécanismes). Le jeu alterne donc recherche d'objets, déclenchement de mécanismes et exploration avec action pure et tir, de façon très équilibrée. Les séquences intermédiaires en images de synthèses sont d'une qualité égale à Tomb Raider I, c'est-à-dire "acceptables" mais très en deça de jeux comme "Soul Blade" ou "Final Fantasy VII". On constate plusieurs saccades et les mouvements des personnages ne sont pas "naturels". La musique est presque identique au premier épisode, mais il faut dire qu'elle était quasi-parfaite et correspond toujours parfaitement au style du Jeu. Souvent on entend seulement les bruitages (eau, oiseaux, etc...) puis une musique d'ambiance se fait entendre alors qu'un ennemi surgit !
Comme l'effet de surprise ne fonctionne plus, la note de Tomb Raider II est moins élevée que celle du N°1 mais ce jeu reste une valeur sûre sur Playstation grâce au savoir-faire des programmeurs et designers de Core. Il est assez facile de finir un Niveau mais on peut explorer à fond chaque nouvel endroit pour en découvrir tous les secrets (sous forme de statuettes). La durée de chaque Niveau est donc très variable (entre 30 mns et plus d'1h30). Les connaisseurs peuvent se jeter sur Tomb Raider II sans retenue (la durée de vie semble conséquente) et les néophytes devront sans doute tester une démo afin d'avoir une idée du style de jeu. Les premiers Niveaux ne sont d'ailleurs pas représentatifs de l'ensemble du Jeu donc il faudra progresser un peu avant de se faire une idée définitive. En tout cas il sera difficile de faire encore mieux dans le genre !
mardi 2 décembre 1997
DISCWORLD II - MORTALITY BYTES
(2D - Note : 5/10). infos non disponibles.
Dans la série des jeux d'aventure 2D, la PlayStation ne possède qu'une poignée de bons titres (Les Chevaliers de Baphomet, Discworld). Discworld 2 possède un avantage qui le distingue des autres : il est tiré de l'oeuvre litteraire de Terry Pratchett, un anglais à l'humour très proche des Monty Python. Toutes les situations classiques du genre sont donc traitées au second degré et les grands poncifs sont joyeusement malmenés (le traditionnel inventaire est remplacé par un coffre à pattes !).
Vous incarnez "Rincevent", Sorcier de seconde zone vivant dans l'univers du Disque-Monde. Dans cette dimension particulière, la terre est plate et portée par une Tortue géante. Le scénario délirant commence dans la ville principale, Ankh-Morport, alors qu'une terrible menace s'annonce : la Mort ele-même ne fait plus son travail ! Les morts-vivant commencent à pululer dans la cité ! Rincevent part donc à sa recherche...
Le point faible de Discworld 2 vient de sa réalisation technique : l'interface est assez mal concue et les déplacements sont assez lents. La PlayStation est moins douée pour l'animation 2D que pour la 3D ! Tous les dialogues sont parlés. Heureusement la version anglaise propose un atout de taille : Eric Idle, ex-Monty Python, prète sa voix à Rincevent. Les remarques caustiques ne manquent pas et toutes les situations du jeu sont prétexte à commentaires. Bien sûr une excellente maitrise de l'anglais est indispensable pour comprendre toutes les finesses et les références.
Le scénario est extrêmement tordu et il faut généralement savoir combiner et utiliser les objets ramassés aux bons endroits. Les situations sont poilantes et on rencontre des personnages haut en couleur. Dans la lignée des ancêtres comme Leisure Suit Larry ou Space Quest sur Ordinateur, Discworld 2 fera passé un très bon moment aux inconditionnels du genre, les autres seront bloqués devant la réalisation poussive et le scénario vraiment trop loufoque !
Dans la série des jeux d'aventure 2D, la PlayStation ne possède qu'une poignée de bons titres (Les Chevaliers de Baphomet, Discworld). Discworld 2 possède un avantage qui le distingue des autres : il est tiré de l'oeuvre litteraire de Terry Pratchett, un anglais à l'humour très proche des Monty Python. Toutes les situations classiques du genre sont donc traitées au second degré et les grands poncifs sont joyeusement malmenés (le traditionnel inventaire est remplacé par un coffre à pattes !).
Vous incarnez "Rincevent", Sorcier de seconde zone vivant dans l'univers du Disque-Monde. Dans cette dimension particulière, la terre est plate et portée par une Tortue géante. Le scénario délirant commence dans la ville principale, Ankh-Morport, alors qu'une terrible menace s'annonce : la Mort ele-même ne fait plus son travail ! Les morts-vivant commencent à pululer dans la cité ! Rincevent part donc à sa recherche...
Le point faible de Discworld 2 vient de sa réalisation technique : l'interface est assez mal concue et les déplacements sont assez lents. La PlayStation est moins douée pour l'animation 2D que pour la 3D ! Tous les dialogues sont parlés. Heureusement la version anglaise propose un atout de taille : Eric Idle, ex-Monty Python, prète sa voix à Rincevent. Les remarques caustiques ne manquent pas et toutes les situations du jeu sont prétexte à commentaires. Bien sûr une excellente maitrise de l'anglais est indispensable pour comprendre toutes les finesses et les références.
Le scénario est extrêmement tordu et il faut généralement savoir combiner et utiliser les objets ramassés aux bons endroits. Les situations sont poilantes et on rencontre des personnages haut en couleur. Dans la lignée des ancêtres comme Leisure Suit Larry ou Space Quest sur Ordinateur, Discworld 2 fera passé un très bon moment aux inconditionnels du genre, les autres seront bloqués devant la réalisation poussive et le scénario vraiment trop loufoque !
LEGACY OF KAIN -BLOOD OMEN-
(2D - Note : 6) by Crystal Dynamics. 1 Player / Memory Card 1 Block.
Comme le dit la pochette, "oubliez la traditionnelle princesse à sauver" ! Dans ce jeu vu "de dessus" à la Zelda, fini les gentilles histoires à dormir debout ! Le jeu commence alors que vous êtes encore un mortel, Kain, et que vous quittez une auberge. Dehors, des maraudeurs vous attaquent et vous tue. Déjà terminé ? non bien sûr ! Un nécromancien passe alors un pacte avec vous, il vous redonne vie pour vous permettre de vous venger. Malheureusement, vous devenez un Vampire tourmenté qui se nourrit de sang. Jamais un jeu console n'a eu un thème et un traitement aussi "adulte" : Kain vous conseille et commente tous les sorts et les objets que vous rammassez au cours de votre périple. Par exemple, lorsque vous tombez sur une crypte dans laquelle sont attachés des prisonniers, Kain est enchanté de trouver tout ce sang frais à sa disposition dans ce garde-manger ! De même lorsque vous récupérez un sort particulièrement meurtrier, Kain vous raconte avec moults détails ses effets sur le corps humain !
Le jeu reste assez linéaire et un peu trop orienté arcade mais l'ambiance et l'histoire très originale vous tienne en haleine de bout en bout. Les graphismes sont agréables, avec un look assez macabre (par exemple, vous tomberez sur une ville où sont entassés des pilles de cadavres un peu partout). Les scènes cinématiques sont nombreuses et bien faites. La musique et les bruitages sont très réussis et font beaucoup pour l'ambiance générale du jeu, les commentaires de Kain vous accompagnent naturellement et les personnages rencontrés sont assez bien doublé en français. Petit reproche par contre pour les effets des sorts, pas assez spectaculaire à mon gout (mais rassurez-vous, les corps explosent !). On peut aussi se transformer en 4 autres créatures, ce qui complique encore certains passages difficiles. A noter qu'un zoom arrière est disponible en temps réel et permet de voir les ennemis en approche.
Le seul véritable problème de Legacy of Kain tient dans ses trop nombreux chargements : dès qu'on pénètre dans une maison (et il y en a beaucoup dans les villes !), on a droit à 5 ou 6 secondes de "Loading", idem quand on quitte une zone. Le rythme est donc haché, surtout qu'à chaque fois que vous faites appel à l'inventaire le chargement recommence ! Legacy of Kain reste tout de même un des rare jeu réussit d'Aventure/Action style Zelda (avec plus d'action et beaucoup moins de recherche) sur Playstation. Les amateurs apprécieront !
Jeu Fini : Environ 20h de Jeu m'ont été nécessaire pour terminer Legacy mais en trouvant seulement 40% des salles et bonus cachés. J'ai réellement été bloqué une fois lorsque je suis entré directement dans le chateau de Vorador sans avoir le Sort de Contrôle de l'Esprit. L'Aventure était assez facile et l'Histoire vraiment originale (même un peu confuse...) mais on se sent peu impliqué au final et les temps de chargement sont vraiment chiants !
Comme le dit la pochette, "oubliez la traditionnelle princesse à sauver" ! Dans ce jeu vu "de dessus" à la Zelda, fini les gentilles histoires à dormir debout ! Le jeu commence alors que vous êtes encore un mortel, Kain, et que vous quittez une auberge. Dehors, des maraudeurs vous attaquent et vous tue. Déjà terminé ? non bien sûr ! Un nécromancien passe alors un pacte avec vous, il vous redonne vie pour vous permettre de vous venger. Malheureusement, vous devenez un Vampire tourmenté qui se nourrit de sang. Jamais un jeu console n'a eu un thème et un traitement aussi "adulte" : Kain vous conseille et commente tous les sorts et les objets que vous rammassez au cours de votre périple. Par exemple, lorsque vous tombez sur une crypte dans laquelle sont attachés des prisonniers, Kain est enchanté de trouver tout ce sang frais à sa disposition dans ce garde-manger ! De même lorsque vous récupérez un sort particulièrement meurtrier, Kain vous raconte avec moults détails ses effets sur le corps humain !
Le jeu reste assez linéaire et un peu trop orienté arcade mais l'ambiance et l'histoire très originale vous tienne en haleine de bout en bout. Les graphismes sont agréables, avec un look assez macabre (par exemple, vous tomberez sur une ville où sont entassés des pilles de cadavres un peu partout). Les scènes cinématiques sont nombreuses et bien faites. La musique et les bruitages sont très réussis et font beaucoup pour l'ambiance générale du jeu, les commentaires de Kain vous accompagnent naturellement et les personnages rencontrés sont assez bien doublé en français. Petit reproche par contre pour les effets des sorts, pas assez spectaculaire à mon gout (mais rassurez-vous, les corps explosent !). On peut aussi se transformer en 4 autres créatures, ce qui complique encore certains passages difficiles. A noter qu'un zoom arrière est disponible en temps réel et permet de voir les ennemis en approche.
Le seul véritable problème de Legacy of Kain tient dans ses trop nombreux chargements : dès qu'on pénètre dans une maison (et il y en a beaucoup dans les villes !), on a droit à 5 ou 6 secondes de "Loading", idem quand on quitte une zone. Le rythme est donc haché, surtout qu'à chaque fois que vous faites appel à l'inventaire le chargement recommence ! Legacy of Kain reste tout de même un des rare jeu réussit d'Aventure/Action style Zelda (avec plus d'action et beaucoup moins de recherche) sur Playstation. Les amateurs apprécieront !
Jeu Fini : Environ 20h de Jeu m'ont été nécessaire pour terminer Legacy mais en trouvant seulement 40% des salles et bonus cachés. J'ai réellement été bloqué une fois lorsque je suis entré directement dans le chateau de Vorador sans avoir le Sort de Contrôle de l'Esprit. L'Aventure était assez facile et l'Histoire vraiment originale (même un peu confuse...) mais on se sent peu impliqué au final et les temps de chargement sont vraiment chiants !
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