Alex Gardner, jeune homme doué de pouvoirs psychiques, gâche son talent sur les champs de courses en devinant le gagnant à l'avance. Lorsqu'une de ses magouilles tourne mal il est contacté par une Agence Gouvernementale pour aider le Président des Etats-Unis à se débarrasser de ses cauchemars récurrents.
Dans notre cycle "Revisitons les films qu'on kiffait ado", après Buckaroo Banzaï voici Dreamscape. Même ambiance fantastique un peu barrée, même budget serré pour de grandes ambitions, Dreamscape sort d'ailleurs aux USA quelques jours après Buckaroo.
25 ans avant Inception le film joue avec le thème des rêves que l'on visite pour tuer ou sauver leurs "propriétaires". Années 80 oblige les séquences de rêves ressemblent à des assemblages kitchs façon vidéoclips et les monstres sont animés en stop-motion. Le film alterne entre thriller politique (complot contre le Président des USA), épouvante (l'homme-serpent et les loups aux yeux rouges qui m'avaient bien collés les miquettes il y a 30 ans, beaucoup moins aujourd'hui), comédie (le héros est souvent au 2e degré) et romantisme téléphoné mais rehaussé d'une petite dose érotique où notre Alex profite de son pouvoir pour aller niquer une scientifique dans ses songes !
Si on excepte les invraisemblances d'un scénario dans lequel un chef d'état se retrouve à la merci d'un psychopathe à cause d'une "technologie" en phase de test, Dreamscape tient encore la route comme "film d'aventure futuriste", justement grâce à son rythme rapide et son thème original en comparaison avec la production contemporaine. Mon seul regret vient du manque de développement du rival d'Alex, Tommy Ray, qui a tout le potentiel pour être un putain de bad guy cauchemardesque mais n'est utilisé que lors du 3e acte.
Ne soyons pas trop enthousiaste tout de même, malgré notre envie de sauver un film cher à notre cœur d'enfant : Inception est passé par là, Dreamscape fait pitié en comparaison.
25 ans avant Inception le film joue avec le thème des rêves que l'on visite pour tuer ou sauver leurs "propriétaires". Années 80 oblige les séquences de rêves ressemblent à des assemblages kitchs façon vidéoclips et les monstres sont animés en stop-motion. Le film alterne entre thriller politique (complot contre le Président des USA), épouvante (l'homme-serpent et les loups aux yeux rouges qui m'avaient bien collés les miquettes il y a 30 ans, beaucoup moins aujourd'hui), comédie (le héros est souvent au 2e degré) et romantisme téléphoné mais rehaussé d'une petite dose érotique où notre Alex profite de son pouvoir pour aller niquer une scientifique dans ses songes !
Si on excepte les invraisemblances d'un scénario dans lequel un chef d'état se retrouve à la merci d'un psychopathe à cause d'une "technologie" en phase de test, Dreamscape tient encore la route comme "film d'aventure futuriste", justement grâce à son rythme rapide et son thème original en comparaison avec la production contemporaine. Mon seul regret vient du manque de développement du rival d'Alex, Tommy Ray, qui a tout le potentiel pour être un putain de bad guy cauchemardesque mais n'est utilisé que lors du 3e acte.
Ne soyons pas trop enthousiaste tout de même, malgré notre envie de sauver un film cher à notre cœur d'enfant : Inception est passé par là, Dreamscape fait pitié en comparaison.
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